L’avocat et le divorce contentieux
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Nous sommes présents au 90 avenue Niel,
62 & 69 rue Ampère, 75017 Paris.
Notre Cabinet gère les dossiers sensibles et importants de divorce et de séparation depuis plus de trente ans.
Avec humanité et combativité.
Le Cabinet maîtrise non seulement le Droit du divorce, c’est-à-dire le Droit de la famille, des personnes et de leur patrimoine, mais aussi la gestion des aspects psychologiques de la rupture du lien matrimonial permettant d’en atténuer les conséquences pour le compte de nos clients et leurs enfants.
Car si les couples s’unissent maintenant selon différentes modalités, mariage, PACS, union libre ou vie commune, les problématiques humaines sont toujours les mêmes.
Si les avocats du Cabinet font tout pour réconcilier les époux, lorsque la rupture est consommée, il faut la réussir tout en la faisant durer le moins longtemps possible.
Pour cela, il faut en comprendre les enjeux.
Que cela soit sur le plan juridique, psychologique, religieux ou sociétal, une union est un contrat.
Les conjoints vont s’obliger mutuellement, à des degrés divers en fonction du type d’union, aux devoirs de respect, de fidélité, de secours et d’assistance.
Si les devoirs de respect, de fidélité, d’assistance sont aisément préhensibles, la nature économique du devoir de secours interpelle.
Il est de moins en moins possible de refuser le divorce.
Certes, cela suppose encore des luttes procédurales dans lesquelles le Cabinet s’emploie avec passion.
Mais aujourd’hui, il est principalement question des enfants et de patrimoine, de prestation compensatoire et de pension alimentaire… Afin de compenser les disparités que la rupture du mariage crée dans les conditions de vie respectives et de permettre l’éducation des enfants.
Sur la question des enfants, il faut certes tenir compte des souhaits et des aspirations des parents, mais aujourd’hui, les juges privilégient l’intérêt de l’enfant dans ses besoins de relation à la mère et de relation au père bien compris et scientifiquement démontrés.
Le cabinet, très expérimenté dans le fait de gérer les conséquences sur le long terme de mauvais choix familiaux concernant les enfants et les conjoints, sait conseiller et défendre avec efficacité et bonne intelligence.
Sur le plan financier et patrimonial, le devoir de secours suppose lors du mariage la contribution aux charges à proportion des facultés respectives des époux.
Bien évidemment, pendant l’union, même si les consensus trouvés entre conjoints sont différents entre les couples, cela pose moins de problèmes.
Souvent, les époux n’ont pas choisi de régime matrimonial protecteur de leurs intérêts.
Les PACS sont mal rédigés.
Les unions maritales sont des unions de fait sans règles précises.
Les biens immobiliers du couple sont achetés sans précaution juridique particulière.
Les entreprises créées voient les conjoints s’associer sans plus de formalité.
Rien n’est prévu quant à l’avenir patrimonial des enfants.
Lorsque la rupture intervient, surtout lorsqu’un des conjoints refait sa vie très rapidement générant de la frustration chez l’autre et ses enfants, la situation se tend et les passions s’exacerbent.
La lutte financière et patrimoniale découlant de l’importance des actifs immobiliers et d’entreprises construits par le couple pendant de nombreuses années cristallise de virulents désaccords.
L’avocat en Droit du divorce devient alors avocat en Droit de l’immobilier et en Droit des affaires jusqu’à résoudre de vrais conflits patrimoniaux et des conflits d’associés.
Lorsque le divorce devient international, l’avocat doit avoir les compétences requises en Droit international pour essayer d’attraire l’affaire devant les juridictions les plus adaptées.
L’avocat, lorsqu’il gère les divorces et les ruptures de couples sensibles et importantes, se doit donc d’avoir toutes ces compétences.